Mais non c'est pas difficile pour les gens du sud
prière de se taire .....................................................; pour l'instant idéal du lac car je vais te mettre hors concours toi
Le vent venant de la mer et le ciel sombre présagent une pêche hors normes. Ici, tout est possible et même pas besoin de permis* dans cette zône et vive l'inversion des courants*.
Le temps est compté car les carpes vont être atteintes de frénésie boulimique* météo oblige.
Je mets en place une canne sur un pic puis les autres en éventail, on ne sais jamais avec ces mémères. :roll: je lance au ras de l'arbre à 10 m du bord, plouf. J'ai esché à une bille soluble carnée et des graines en chapelet et je rappelle avec des graines (tiggers) préalablement macérées (voir sujet d'Alain) avec une ptite rasade de levure de bière une semaine avant l'heure H. la levure de bière aide à la production d'alcool lors de la macération avec le sucre.
L'attente commence et les moustiques me tiennent compagnie rien de telle qu'une macération de feuilles de menthe citronnelle dans de l'huile de jojoba.
On éloigne les moustiques et on bronze en même temps. Bippppppppppppppppppppppp c'est parti, sur une tigger. le poisson prend le courant et vus le nombres d'obstacle, le rodéo va commencer. Bippppppppppppppp sur l'autre canne, je faire en tenant la première canne entre les guibolles puis je chosis la deuxième car notre cliente à l'air beaucoup plus sérieuse.
Si çà vous arrive un jour, il vous faudra faire un choix surtout à cet endroit. Tout est encore possible sur un plan d'eau bien dégagé par contre ici, je desserre le frein de ma première canne et je la pose sur son pic. La deuxième se courbe comme le roseau, le fil chante une douce romance dans les aigüs; le moulinet clickette. Je resserre le frein doucement et la belle donne des coups de têtes et bourre un max. Je régule mon frein; certains préfèrent démouliner, à chacun son truc. La canne plie et replie, je contre comme je peux. C'est une joyeuse régulation avec son matériel qu'il faut bien connaître. Je repense aux carpes de l'Ardèche et à ce fameux départ de nuit près des ruines templiaires de la maladerie.
J'ai toujours l'échine qui frissonne lorsque le combat n'est pas facile. La vaillance de mon adversaire me fait prendre un immmense plaisir. Je lui donne la main et elle reprend le dessus. Ma coquine arrive près du bord, le remou est prometteur mais comme disait mon père, tant qu'elle n'est pas sur le talus rien n'est joué.
Les reflets argentés ardoisés d'écailles trahissent une jolie commune sauvage, elle doit faire le mètre, alors je la ménage (comme vous mesdames) sait -on jamais qu'elle veuille filer à l'anglaise sans passer par l'étape du peson.
Jolies dames
ne filer pas à l'anglaise
sans avoir trouver au moins un indice de l'énigme ? :study:
la suite c'est pour bientôt .
AmYScalement .