[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]A : L’hameçon est piqué dans la lèvre inférieure.
La carpe se nourrissait sur le fond. L’hameçon s’est planté dans la lèvre inférieure au moment où le bas de ligne s’est tendu. La carpe était probablement d’une nature méfiante.
B : L’hameçon s’est planté dans la bouche.
La carpe se nourrissait en toute confiance et s’apprêtait à avaler l’appât au moment où le bas de ligne s’est tendu. La carpe ne se méfiait vraisemblablement ni de l’appât, ni de sa présentation.
C : L’hameçon s’est piqué à la commissure des lèvres.
La carpe a prélevé l’esche avant de poursuivre son chemin. Ce faisant, elle a tendu la bas de ligne et l’hameçon s’est planté aux angles de la bouche. La carpe se nourrissait probablement en toute confiance.
D : L’hameçon s’est planté dans le palais ou sur le bord de la lèvre supérieure.
Au moment où la carpe a tenté de rejeter l’hameçon esché, celui-ci s’est accroché. La carpe était peut-être de nature prudente, pour ne pas dire méfiante.
E : L’hameçon est piqué à l’extérieur de la bouche.
Au moment où la carpe a avalé l’appât, l’hameçon s’est planté à l’extérieur de la bouche. La carpe a été harponnée. Etait-elle prudente ? Se méfiait-elle de l’appât ou a-t-elle cherché à éviter la présentation ?
F : Le décrochage.
Durant le combat ou au moment de la touche, la carpe se décroche et le montage reste intact. La carpe, bien que confiante, a trouvé probablement le moyen de se débarrasser de l’appât. Si l’hameçon s’est ouvert s’est ouvert ou que la tresse s’est rompue, il s’agit d’une défaillance technique. Dans le cas contraire, le décrochage est dû au comportement alimentaire des carpes et non à la qualité de la présentation.